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quotidiennes LII (14/s43)

_chercher la compagnie dans la solitude des pauses ordinaires
#paris #beaubourg #ircam #autourdutravail

 
 
 
 

_gare au(x) matin(s)
en pensant à Sébastien Rongier
#paris #garedelyon #matin

 
 
 
 

_lectures octobrantes
#montreuil #avantdepartir #lectures #compagnies #papieretnumérique [1]

 
 
 
 

_compo urbaine
#montreuil #rueDésiréPréau #streetart #ghostinthecity

 
 
 
 

_trois hommes sur scène +1
#paris #hallesaintpierre #ateliercontemporain #novarina #moulin #deyrolle [2]

 
 
 
 


_Photos : Montreuil, Paris (20-26 octobre 2014)
 
_Le projet de GRAINS D’INSTANTS est de remonter le temps en images à partir du 18 avril 2012 où j’ai posté mon premier instantané sur le réseau social Instagram, en reprenant ou en modifiant les légendes et, en suivant son évolution, de voir ce que peut créer ce décalage spatio-temporel. Pour en savoir plus sur cette rubrique, suivez ce lien.

 

écrit ou proposé par Christophe Grossi - @christogrossi
BY-NC-SA (site sous licence Creative Commons BY-NC-SA)
première mise en ligne et dernière modification le lundi 11 avril 2016


[1On se prépare à faire un voyage. De gauche à droite et de haut en bas : Jean Dubuffet & Marcel Moreau, De l’Art Brut aux Beaux-Arts convulsifs, L’Atelier contemporain ; Eugène Savitzkaya, En vie, Minuit ; Anne Savelli, Île ronde, Joca Seria ; Virginie Gautier, Marcher dans Londres en suivant le plan du Caire, publie.net ; revue Hippocampe, n°11.

[2Hier, à l’auditorium de la Halle Saint-Pierre à Paris, à l’occasion du vernissage de l’exposition de Ann Loubert et Clémentine Margheriti, deux artistes présentées dans les deux premiers numéros de la revue « L’Atelier contemporain », trois auteurs (Valère Novarina [photo 1], Jacques Moulin [photo 2] et moi) avaient pour mission de lire des extraits de leur livre récemment publié par François-Marie Deyrolle [photo 3], fondateur et éditeur de L’Atelier contemporain. J’ai ouvert les hostilités en lisant un montage de fragments issus de Ricordi puis est venu Jacques Moulin qui a lu un long extrait de son Portique avant que Valère Novarina ne mette le feu à l’auditorium avec, non pas un extrait de sa correspondance avec Jean Dubuffet comme il était convenu mais avec le début du Drame de la vie, trente ans après sa première lecture publique, en hommage à ce même peintre. Il est possible d’écouter l’enregistrement de ma lecture publique en suivant ce lien.